Arrivée le 18 juin sur Netflix, la saison 2 de America’s Sweethearts offre une plongée plus intense encore dans le quotidien des Dallas Cowboys Cheerleaders. Maintenant que les projecteurs se sont éteints, que retenir ? Le succès rencontré et les discussions engagées laissent entrevoir des chances réelles d’un retour.
Ce que la saison 2 a réussi à faire
Réalisée par Greg Whiteley, vétéran des petits champions (Cheer, Last Chance U), cette deuxième saison suit les auditions, le bootcamp et la saison 2024‑25. Le parcours de la leader Armani Latimer, qui, en pleine bataille contre l’alopécie, choisit de danser sans perruque – un geste de courage relayé en salon de coiffure, très apprécié en ligne.L’audience a également plébiscité la montée de Ava Lahey, devenue figure préférée du public grâce à son authenticité, ses talents de danse et son sens du branding personnel
Certaines séquences ont aussi relancé le débat autour de la rémunération : les cheerleaders ont obtenu une augmentation de près de 400 %, sujet central dans la narration de cette saison. Une victoire collective mise à l’honneur par les caméras.
Que pourrait offrir la saison 3 ?
Nouveau camp 2025‑26 : avec les départs, les nouvelles recrues et la perspective d’un retour de Kacey Musgraves comme juge.
Tournage prévu : potentiellement début 2026, pour une diffusion l’été 2026, si Netflix relance la production.
Évolution narrative : plus d’interrogations sur l’image, la gestion des corps et le système médiatique lié à l’élite cheer.
Le verdict actuel
Netflix n’a pas encore officialisé la saison 3, mais tous les signaux sont au vert : un public au rendez‑vous, des sujets forts (alkopécie, rémunération, identité), et un format pérenne. Si la plateforme suit la logique d’audience et de renouvellement, la saison 3 se profile comme une suite naturelle — et attendue.
America’s Sweethearts saison 2 pose les jalons d’une franchise durable. Si les retombées continuent sur cette trajectoire, Netflix pourrait bien appuyer sur « play » rapidement. En attendant, la saison 2 demeure un terrain fertile pour débat, émotion et témoignage autour de défis rarement visibles.
