Ziam, le nouveau film thaïlandais de zombies, occupe actuellement une place de choix dans le Top 10 de Netflix. Aux manettes, l’équipe de Master of the House mêle action tranchante et horreur viscérale dans un cadre réaliste et brutal.
Une plongée sanglante en milieu hospitalier
Dans un futur proche accablé par la famine et la surpopulation, Singh (Mark Prin Suparat), un ancien combattant de Muay-Thai devenu chauffeur, doit infiltrer un hôpital en quarantaine pour sauver Rin (Nychaa-Nuttanicha) et un jeune garçon, Buddy. Le décor, planté avec précision, redoute une pandémie zombifiée : l’environnement est claustrophobe, la menace omniprésente et les combats sans armes redéfinissent l’intimité de la violence.
Muay-Thai contre zombies : une relecture spectaculaire
L’atout principal de Ziam réside dans ses affrontements rapprochés. Exit les armes à feu, place aux coups de poing et de pied explosifs : “des scènes de combat parmi les plus exaltantes du genre” selon Screen Rant. Tom’s Guide note que Ziam “comprend certains des combats de zombies les plus excitants que vous verrez” Inverse ajoute que ce mélange d’arts martiaux et d’horreur, bien que classique, est une « proposition bienvenue pour les fans de zombies » .
Les effets pratiques, tranchants et physique, renforcent l’impact du gore sans recourir systématiquement au CGI. Côté tonalité, le film joue la dureté avec une justesse brutale, même si certains dialogues et la cohésion narrative peuvent paraître balisés .
Un budget sud-est asiatique qui se fait sentir
Produit par Kantana Motion Pictures et mis en scène par Kulp Kaljareuk, Ziam bénéficie d’une patine soignée : tournage à Bangkok, direction artistique sans fioritures et rythme élancé (90 minutes chrono). La bande-son du compositeur de Attack on Titan, Kohta Yamamoto, ajoute à la tension dramatique.
Ce qui fonctionne, ce qui coince
| Points forts | Limites |
|---|---|
| Action resserrée | Intrigue très attendue |
| Effets pratiques réussis | Personnages secondaires peu développés |
| Ambiance étouffante | Discontinuité dans le scénario |
Vos réactions (extraits X)
Le film ZIAM… il commence bien niveau castagne
— Kiri a.k.a Lord Bourbier 1er (@Kiriseyiar) July 9, 2025
Ziam, 2025
3)
La bande annonce, n’est pas fausse, le film est ce qu’il promet d’être !
Et la qualité vidéo Netflix 4K Dolby Vision, sur ce film
Est vraiment surprenante
Excellente !!
Le son était également pas mauvais
Que du bon en soirée cinéma, bien réussie pic.twitter.com/1AefiuTwNs— Léo Turiole (@LTuriole) July 11, 2025
Ziam, 2025
1)
C’était super bien
Une excellente surprise !
Une vraie bonne soirée de cinema
Régal !
Hyper dynamique, film bien adulte, du budget, une excellente réalisation, qualité video (4K Dolby Vision), et de son
Belle découverte de Netflix #review #movie #film pic.twitter.com/yiGaYfB5GA— Léo Turiole (@LTuriole) July 11, 2025
[FILMS] #ZIAM sur Netflix. Un peu long à démarrer, mais très bon, avec de chouettes idées de mise en scène. Après, cela n’apporte rien de plus au film de Zombies, excepté le mélange Horreur / arts martiaux. Et ceux-ci, comme dans Dernier Train pour Busan, sont véloces.
— Chris KNIGHT (@HellKNIGHT2016) July 11, 2025
[FILMS] #ZIAM sur Netflix. Un peu long à démarrer, mais très bon, avec de chouettes idées de mise en scène. Après, cela n’apporte rien de plus au film de Zombies, excepté le mélange Horreur / arts martiaux. Et ceux-ci, comme dans Dernier Train pour Busan, sont véloces.
— Chris KNIGHT (@HellKNIGHT2016) July 11, 2025
[FILMS] #ZIAM sur Netflix. Un peu long à démarrer, mais très bon, avec de chouettes idées de mise en scène. Après, cela n’apporte rien de plus au film de Zombies, excepté le mélange Horreur / arts martiaux. Et ceux-ci, comme dans Dernier Train pour Busan, sont véloces.
— Chris KNIGHT (@HellKNIGHT2016) July 11, 2025
Verdict : un divertissement tranché, sans concession
Ziam assume pleinement son parti pris. Ce thriller d’action horrifique est un concentré de violence stylisée, d’arts martiaux et de décibels sonores, idéal pour les amateurs de zombie-punch en continuité. Si votre appétit va au-delà d’un spectacle sanglant vers des personnages plus fouillés ou des rebondissements plus inventifs, il peut laisser une impression de mise en scène certes remarquable, mais un peu formatée.
