Selling the OC revient en novembre : nouvelles têtes, vieilles rancunes et guerre froide sur fond de villas millionnaires

Le bureau d’Orange County n’a pas dit son dernier mot. Après une saison 3 entre alliances de circonstance et jeux d’ego sous tension, Selling the OC revient pour une saison 4 le 12 novembre 2025 sur Netflix. Et cette fois, la hiérarchie pourrait bien voler en éclats. Entre l’arrivée de trois nouvelles recrues venues de San Diego et la compétition pour décrocher les listings les plus convoités du littoral, l’ambiance corporate vire à la guerre de tranchées.

Derrière les sourires blancs, les coupes de champagne et les promenades sous 35°, se joue une lutte de pouvoir bien plus corrosive qu’une simple vente immobilière.

Nouveau round, mêmes enjeux (mais en plus venimeux)

Jason Oppenheim n’est pas seulement de retour pour faire le nombre : il vient avec une stratégie. Dans cette saison 4, il injecte trois nouvelles recrues dans l’équipe — Fiona Belle, Ashtyn Zerboni, et Kaylee Ricciardi — venues de La Jolla et prêtes à faire leurs preuves à Orange County. Un transfert qui n’a rien d’anodin : les piliers de l’agence, déjà en rivalité larvée depuis des saisons, voient d’un œil trouble cette arrivée massive de sang neuf.

Pour rappel : les anciens — Alex Hall, Polly Brindle, Tyler Stanaland, Gio Helou, Austin Victoria et Brandi Marshall — forment un noyau dur, divisé mais uni face à la nouveauté. Sauf que cette fois, l’équilibre est plus fragile que jamais.

Trois nouvelles recrues, trois dynamiques explosives

Fiona Belle, 23 ans, est la cadette du groupe. Originaire d’Orange County, diplômée avec mention de UC San Diego, elle a déjà signé plusieurs ventes à 7 chiffres. Son âge fait parler, mais son efficacité parle plus fort. Elle pourrait bien bousculer certaines figures installées.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Fiona Belle (@fionabbelle)

Ashtyn Zerboni, ex-mannequin avec un diplôme de biologie, cultive une approche design du métier. Entre art, réseau social et stratégie visuelle, elle coche toutes les cases du branding Oppenheim, mais avec une teinte plus froide, presque chirurgicale.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Ashtyn Zerboni (@ashtyyn)

Kaylee Ricciardi, formée dans l’événementiel et la location haut de gamme à Coachella, joue la carte du lifestyle global. Cosmopolite, diplomate, mais redoutable, elle sait se vendre autant qu’elle vend.

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Kaylee Ricciardi (@kayleericciardi)

Trois profils ultra marketés, mais aussi trois femmes à la personnalité bien affirmée. Ce qui fait frissonner les murs du bureau, ce n’est pas leur CV : c’est leur potentiel à faire éclater les dynamiques internes.

Règlements de comptes en coulisses ?

On ne sait pas encore si la fameuse vidéo de la saison 3 (celle qui avait provoqué une fracture nette dans l’équipe) sera remise sur la table, mais les tensions laissées en suspens ne sont pas oubliées. L’histoire entre Alex Hall et Tyler Stanaland, désormais largement relayée dans la presse, reste une ligne rouge difficile à contourner.

Gio Helou, toujours en quête de domination, pourrait se heurter frontalement à Ashtyn ou Fiona, qui ne semblent pas du genre à jouer les seconds rôles. Et Brandi, discrète mais stratège, pourrait bien tirer parti du chaos ambiant pour rebattre les cartes.