Sous le feu des projecteurs, à La Ciotat. Des rêves de gloire qui s’entrechoquent, des secrets qui refont surface. La nouvelle série ‘Tout pour la lumière’ sort des coulisses avec une bande-annonce qui bouscule. TF1 et Netflix s’allient pour une plongée dans l’univers du spectacle, là où les néons cachent souvent des ombres. Derrière la caméra, Nicolas Herdt s’entoure des plumes de Coline Assous, Yentl Coubes et Maxime Cormier pour orchestrer ce drame musical où l’art devient un champ de bataille. Mais que se passe-t-il vraiment dans ce Studio Lumière ?

Les ombres du passé

Victoria Vargas (Joy Esther) avait tout pour réussir : une voix, une carrière, une famille. Mais de retour à La Ciotat pour soutenir sa mère Florence (Isabel Otero), elle retrouve ce studio qui l’a vue grandir et les souvenirs qu’elle préférerait oublier. En parallèle, sa fille Baya (Louve Le Coadou) rêve de faire sa place, quitte à raviver les blessures familiales

 

Casting : Qui brille, qui s’éclipse ?

Gilles Cohen, Maud Jurez, Prudence Leroy, Ilan Evans, Louis Duneton… et une ribambelle de nouveaux venus issus des télé-crochets. Gwendal Marimoutou, Vike et Charlie Loiselier rejoignent le ballet des aspirants stars, entre performances vocales et rivalités de couloir.

Des feux de la rampe aux coulisses

90 épisodes de 25 minutes. Une diffusion simultanée sur TF1 et Netflix, mais avec un petit twist : Netflix balance les épisodes cinq jours avant TF1. Double exposition, double enjeu.

L’ambiance des répétitions

La Ciotat et les studios de la Belle de Mai accueillent les décors de cette série où les scènes de chant et de danse se mêlent aux conflits familiaux. Un décor à la fois refuge et arène, où chacun joue sa dernière chance.

Verdict : Pourquoi ça peut faire des étincelles ?

Entre les drames familiaux façon ‘Plus belle la vie’ et l’intensité scénique d’un ‘Fame’ version hexagonale, ‘Tout pour la lumière’ joue sur deux tableaux. Reste à voir si le public mordra à l’hameçon de ce feuilleton au rythme soutenu.