Imagine une arène sans fioritures, seulement la tension sourde de la force et l’éclat des corps qui ne craignent pas la fatigue. Cet automne, Netflix dépose en douceur dans nos écrans Physical: Asia, nouvelle déclinaison d’un championnat affrontant l’athlétisme à coups d’épreuves physiques rudes. Dix pays d’Asie, au moins selon les teasers, vont se mesurer non pas pour une médaille, mais pour que le drapeau de leur nation s’élève plus haut que les autres.
Ce qu’on sait vraiment sur 100% Physique : Asie
La genèse du format
Le concept est né avec Physical: 100, un format coréen où cent participants à la carrure affirmée se défiaient dans des épreuves de saut, de suspension ou de force, jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un.Une version pan-asiatique
Depuis novembre 2024, Netflix a officiellement étendu la franchise à l’Asie, confirmant une troisième saison aux contours élargis, transcendant la seule Corée du Sud. En février 2025, Manny Pacquiao, légende de la boxe philippine, a été annoncé comme l’un des représentants de cette nouvelle version, qui oppose des athlètes par équipes nationales.Calendrier de diffusion
Le producteur confirme une mise en ligne durant le quatrième trimestre 2025 jusqu’à aujourd’hui —puis la diffusion d’un teaser valide une diffusion pour le mois d’octobre sans que l’on dispose à ce jour de plus de précision sur la date exacte.
Pourquoi 100% Physique : Asie mérite un regard au-delà du cliché sportif
Premièrement, parce qu’il ne s’agit pas d’un simple concours de muscles : chaque épreuve réclame autant de stratégie mentale que de puissance brute. Physical: 100 l’a prouvé, mais cette version asiatique mise sur la dimension symbolique des équipes nationales, où chaque affrontement vocalise une fierté collective. Deuxièmement, la participation d’une icône comme Manny Pacquiao apporte un contraste immédiat : tous ne sont pas des athlètes de salon, certains portent l’histoire de leur sport et de leur pays dans leur vie quotidienne.
Enfin, c’est l’aspect de parité et de diversité des physiques qui avait surpris avec la version originale — ici, transposé sur plusieurs pays, l’enjeu identitaire devient palpable sans passer par les clichés pseudo-positifs habituels.
