Après avoir ajouté “La dernière maison sur la gauche” à son offre de contenus et avant que le film taïwanais de found footage “Incantation” ne vienne hanter vos nuits, Netflix a prévu de clore le mois de juin avec une dernière dose d’horreur. En effet, le jeudi 30 juin prochain, la plateforme de streaming injectera au sein de son catalogue “Brightburn : l’enfant du mal“, un film diabolique réalisé par David Yarovesky, à qui l’on doit notamment “Les pages de l’angoisse” (disponible sur Netflix) et “Les Gardiens de la Galaxie”. 

Lire également : Incantation, un film d’horreur taïwanais dans la veine de “The Ring” va vous terrifier en juillet sur Netflix

Brightburn : l’enfant du mal : super-héros horrifique 

Dans ce film produit par les frères Gunn, le cinéaste s’essaie à un exercice peu commun : celui de jouer sur les genres et de se servir du mythe du super héros à des fins gores et horrifiques. Ici, le super-héros bascule clairement du côté obscur de la force !

“Il nous ressemble, mais il n’est pas comme nous”

 

Ce long-métrage d’1h31 nous emmène en 2006, en pleine nuit alors que Kyle et Tori Breyer, un couple de fermiers sans enfant (et désireux d’en avoir un) découvre un bébé dans une capsule spatiale. Baptisé Brandon, l’enfant se révèle un petit garçon curieux, éveillé et naturellement doué. Mais à l’approche de l’adolescence,  quelque chose de malveillant s’empare de lui, ce qui le pousse à commettre les pires atrocités et à semer le chaos dans la petite ville sans histoire. 

 

Qui figure au casting ? 

Le casting réunit dans les rôles principaux Elizabeth Banks, David Denman et Jackson A. Dunn.

 

Qu’on pensé les internautes lors de sa sortie en salles ? 

Sorti en salles en 2019, “Brightburn : l’enfant du mal”, en raison de son caractère iconoclaste, a fait couler pas mal d’encre, en l’occurence sur Twitter où nous avons recueillis les impressions divisées des internautes :